L'Afrique que on veut

« UBUMUNTU » DU RWANDA FAIT DEMENTIR SANS EQUIVOQUE LE RAPPORT BIAISE DE HRW & .

Le Rwanda de Kagame et ses réalisations font de loin démentir sans équivoque aussi bien le récent faux et biaisé rapport de HRW, sans oublier les précédents diffusés toujours avec l’intention de nuire au pays et à son leadership. Avec HRW, on ne sait plus où commence l’humanitaire, car le géopolitique, la vendetta et l’obsession personnelle brouillent les pistes.

Le Rwanda reste le pays d’« Ubumuntu », cela ne s’ínvente pas !

Commençons par rappeler que l’avènement des ONGs occidentales, n’a apparu qu’au tour des années soixante, après les indépendances des pays colonisés ; ainsi le colon exploiteur s’est transformé instantanément en homme à vocation humanitaire. C’était une bonne trouvaille pour rester, surveiller et ne pas lâcher le pays tant convoité.

L’ONG n’est autre chose qu’un instrument néocolonial qui a permis le loup de rester ou de re-entrer dans le berger sous une autre forme acceptable et déguisé en humanitaire. Il est donc clair que, sauf exception, les pays en développement ne peuvent rien attendre ni de positif ni de palpable dans la contribution de ces nouvelles organisations. Sinon depuis que les ONG sillonnent les pays d’Afrique, le continent auraient déjà parmi ses pays, ceux qui sont au moins moyennement développés.

La prétention de s’auto-proclamé Human Right Watch

Il faut avoir du courage pour se lever et déclarer sans rougir, que l’on a la mission de « Human Right Watch ! ». Et d’en porter le nom ! Voilà comment une organisation quelconque ose se mettre à terroriser le monde, surtout les pays des continents en pleine développement. Quelle prétention ! Quelle audace ! Il faut oser le faire. HRW l’a fait jusqu’à évincer son concurrent l’Amnisty International.

Le HRW, est une organisation qui est née beaucoup plus tard que les autres, vers la fin des années quatre-vingt, et qui n’a de l’humanitaire que ce qui l’intéresse et ce qui intéresse les pays et les institutions qui sont ses sources de financement ou qu’il tient à servir selon ses stratégies.

Si vraiment cette organisation était humanitaire, en accord avec ses objectifs de défendre les droits de l’homme et le respect de la Déclaration universelle des droits de l’homme, si elle était sincère et en avait la vocation, elle aurait dû commencer sa mission auprès des opprimés du pays où elle a élu domicile pour son siège social, New York, Etats unis.

Qui ne connaît pas la question des droits de l’homme aux Etats-unis, notamment en ce qui concerne la situation des afro-américains, et à New York le siège social de HRW. Cette organisation aurait pu avoir un travail à plein temps en s’occupant des cas quotidiens et flagrants des noirs de ce pays qui sont exclus de ce fameux « Nous le peuple » de la Déclaration universelle des droits de l’homme depuis bientôt plus de cinq siècles. Les citoyens américains qui ont la peau foncée ne connaissent le « nous le peuple » que sur le papier.


Il l’a empêché de respirer ! Il en est mort ! Et c’est fréquent depuis plus de 500 ans.

Le HRW est vu par une de ses sœurs la « NGO MONITOR » qui le décrit comme « une ONG puissante, dotée d’un budget considérable, de liens étroits avec les gouvernements occidentaux et d’une influence significative au sein des institutions internationales. Ses publications reflètent l’absence de normes professionnelles, de méthodologies de recherche et d’expertise militaire et juridique, ainsi qu’un préjugé idéologique profondément ancré contre Israël. » On ne peut mieux dire sur HRW ! Et le cas du Rwanda ne fait que le confirmer.

Ceci est une preuve que les rapports de HRW ne sont qu’un tas de traficotage d’informations, que cette organisation rassemble sur le Rwanda ou un autre pays dans l’oeil du cyclone. HRW le fait pour satisfaire et répondre aux demandes d’une ou plusieurs pays, organisations, médias et institutions comme les Nations unies, qui les utilisent pour faire des résolutions, prendre des sanctions, couper les fonds, faire une pression aux pays qui tendent à échapper au rouleau compresseur de certaines puissances et organisations.

La preuve de cela est que HRW s’arrange pour faire sortir ses rapports avant la tenue des grandes réunions décisionnelles. Ils sont distribués à tous les influenceurs, aux pays membres permanents du Conseil de sécurité, et aux journalistes pour une large diffusion. C’est une aubaine pour beaucoup des délégués qui n’ont pas les moyens d’obtenir de l’information et par conséquent d’en obtenir au moindre coup.

Cette approche malicieuse est une arme redoutable, car chacun de ces récipiendaires, digère ces informations, les reformule de sa manière, et les reproduit selon ses intérêts. Pendant ladite conférence, tout le monde présente la même analyse et personne ne se rend compte que ces informations viennent d’une même source. Quelle manipulation !


Comme Jupiter, Kenneth Roth, décrète et envoie les foudres à sa guise !

Que le HRW dise la vérité dans ses rapports, on ne pourrait que s’en réjouir. Mais comme l’a décrit NGO MONITOR, « ses publications reflètent l’absence de normes professionnelles, de méthodologies de recherche et d’expertise militaire et juridique,.. »

Si le HRW était sincère et bien intentionné, il aurait dû commencer son bon travail dans sa circonscription dans laquelle la souffrance humaine est causée par son semblable, et cela depuis des siècles, dans l’ensemble des Etats et dans tous les pays de l’hémisphère Nord. Sans dire qu’en Afrique beaucoup de misères économiques et politiques prennent leur origine aux différents types des relations socio-écomiques avec l’Occident, qui vont de l’esclavage au pillage de richesses jusqu’à la déculturation, appelé sans complexe la « colonisation ».

HRW est issue de ce cruel milieu .

Dans le bon ordre de choses, il serait plutôt normal et logique que le HRW & Co s’intéresse à la situation dramatique des habitants noirs du pays où il a hébergé son siège, ces derniers se font tirés dessus au quotidien comme des canards sauvages et cela dans tous les Etats du pays.

Si le HRW avait un cœur, il s’intéresserait aux pays de l’Europe qui ont transformé la mer Méditerranée en un plus grand cimetière d’africains, en préférant payer plusieurs milliards d’Euros aux milices libyens et à la Turquie pour monter des remparts qui empêchent la libre circulation des peuples, dans un monde qui nous appartient tous. Ainsi, ils endiguent une immigration dont l’Occident a tant besoin aussi bien pour sa survie démographique que pour son développement économique. Tous les rapports et études le confirme dont celui des Nations unies.

Si le HRW était honnête, il s’intéresserait à la situation de Haïti, qui s’est fait appauvrir par la France en payant sa liberté pendant un siècle et qui s’est fait plumer par l’Amérique, dont les conséquences actuelles font que le pays est devenu ingouvernable.

A titre de rappel, cette première république noire, qui a gagné seule la liberté en faisant sortir son peuple de l’esclavage, Haïti est le seul pays de l’hémisphère Nord, qui croupisse dans la misère. Le HRW ferait mieux de prêter plutôt attention à ce pays plus proche de son siège et surtout plus proche de ceux qui en sont la cause de ses malheurs.

Le Rwanda dans l’œil du cyclone

Le Rwanda que le monde avait négligé avant, pendant et après le génocide contre les Tutsi, était supposé disparaitre, personne ne pensait quíl pourra se relever. Mais ce phénix a réussi, non seulement à renaitre de ses cendres, mais aussi à prendre en charge son développement et son devenir.

Il y a certains pays, des organisations et des personnes qui étaient mal à l’aise par cette initiative, pourtant louable, que le Rwanda a dû prendre d’urgence d’actions et des programmes pour sa survie et la survie de son peuple. Le HRW a mis beaucoup d’effort pour s’opposer au Rwanda, à sa politique, à sa Justice et à son leadership.

Le HRW a toujours accusé le Rwanda de tous les maux : de la dictature aux assassinats, de museler la presse et des menaces à sa diaspora, etc.


Une obsession maladive, que certaines organisations occidentales ont mis à jour !.

Le HRW ferait mieux d’interroger les faits au lieu de se fier à sa mauvaise conscience. En effet le seul survol du Rwanda de 1994, pays en voie de sous-développement, dans lequel la mise à mort d’un voisin, un ami, voire un conjoint et un enfant n’était aussi qu’un signe de sous-développement mental.

Le même survol de ce pays en 2023, à peine 29 ans plus tard, les faits parlent par eux-mêmes : l’image panoramique d’un développement harmonieux, de la capitale vers les villes intérieures, des faubourgs vers les villages sur chacune de mille collines. On ne peut obtenir ces résultats par imposition ni par une organisation dictatoriale. Seul, peut penser cela, celui qui ne connaît pas le rwandais et sa mentalité. Ou alors, il faut n’être qu’un simple menteur mal intentionné.


Et la fameuse démocratie ? Le maître colonial nous a trompé. Voilà le résultat. Et c’est nous les fautifs !

Le mot démocratie, les rwandais l’ont appris du maître colonial belge qui nous a appris qu’il faut éliminer celui qui ne pense pas comme vous, ou qui est jugé différent.

Quelle démocratie !

Actuellement, le Rwanda a repensé, modelé et modernisé à la rwandaise sa propre représentation du peuple. Les élections sont observées par des délégués nationaux et internationaux, y compris ceux de l’Union européenne.

Le Rwanda n’attend pas les élections pour faire participer le peuple au pouvoir. Ainsi une fois par an il y a le Dialogue nationale. Les élus et les responsables des services à tous les niveaux s’engagent sous signature à accomplir leur programme. Cést pourquoi chaque année, il y a un Dialogue national qui groupe le président et son gouvernement, les responsables des services à tous les niveaux, ainsi que les délégués nationaux, ceux des districts, ainsi que les délégués de la diaspora. L’objet consiste à présenter les réalisations du gouvernement et des services, répondre aux questions, recevoir des suggestions. Les engagements sont évalués, revus et corriger. Ainsi le programme de l’année suivante est mis en place et relancés.

Cet exercice se fait aussi au cours de l’année, quand le président se déplace dans les districts du pays, et quand il se rend à l’étranger, il rencontre la diaspora, et partage avec elle l’information sur le Rwanda, sur les réalisations. De la part de la diaspora, les autorités rwandaises reçoivent les réactions et les suggestions, sans oublier de sínformer sur leur situation particulière.

Cette approche démocratique permet à tous les rwandais d’avoir la situation politique et économique du pays et de suivre l’évolution des réalisations demandées, promises et programmées et tout un chacun peut en dire tout ce qu’íl en pense ou il peut soulever un nouveau problème qui n’était pas prévu ou donner des suggestions.

La diaspora est considérée comme la sixième province du Rwanda, compte tenu de sa participation et de son importance dans le développement socio-économique du pays. HRW se trompe lourdement quand il affirme que la diaspora est pour le Rwanda le terrain de chasse des opposants.


A propos de diaspora

L’exercice démocratique cité plus haut se répète à chaque fois que le président se déplace dans les provinces à l’intérieur du pays ou quand il se rend à l’étranger où le même exercice se fait pour permettre à la diaspora rwandaise d’être au même niveau d’information que leur concitoyen au Rwanda.

Très peu de chef d’États font cela et je ne connais aucun Etat occidental qui possède une aussi démocratie interactive. Beaucoup des citoyens occidentaux déclarent ne rencontrer leurs élus que lors de campagne, c’est-à-dire tous les 4 ans.

La diaspora veut participer à la reconstruction et au développement du Rwanda

L’organisation de la diaspora rwandaise est bien autonome et elle a montré depuis longtemps le grand intérêt de rester en contact permanent avec le Rwanda, et elle a contribué significativement à la construction du pays.

HRW fait allusion avec insistance aux assassinats, aux kidnappings, aux menaces, etc.

Cette organisation qui se dit humanitaire ne mentionne pas que les pays qui sont ses sources de financement, hébergent des génocidaires qu’ils ne veulent pas traduire devant la Justice ni les renvoyer au Rwanda, pays dans lequel ils ont commis le crime des crimes.

Le Rwanda doit-il baisser les bras quand les autres ne font pas leur devoir ? Pourtant quand leurs intérêts sont en jeu, leurs réactions peuvent être brutales. Rappelons quelques-uns des cas récents, tels que l’assassinat de Ben Laden dans un pays étranger, la célèbre prison inhumaine de Guantanamo, l’emploi par la Belgique d’un leurre pour ramener le pirate somalien qui s’est fait coffrer dès son atterrissage à Bruxelles, etc.

Le Rwanda ne fait que corriger la balance occidentale qui fait deux poids deux mesures. Il ne fait que dévoiler cette hypocrisie, dont les rapports de HRW sont l’exemple typique de ces écrits et cet injuste comportement.

Et les journalistes en prison …

Depuis 1994, le Rwanda a connu un foisonnement des médias publiques et surtout privés qui vont des TVs, des journaux et revues, des médias onlines et surtout de You Tubes. Ces médias ont les droits et les devoirs. Aucun média n’a été suspendue à moins qu’elle soit subversive, qu’elle monte un groupe contre un autre, etc.

Le Rwanda a besoin des médias qui contribuent à la construction du pays et à la cohésion sociale. Le HWR sait très bien le rôle négatif jouait par les médias au Rwanda dans la destruction d’un huitième de la population rwandaise. Si chacun suit les règles, les vaches seront bien gardées !

En conclusion

Il est dommage que l’on soit obligé de se justifier devant cette organisation qui n’a d’humanitaire que de nom. Surtout que les accusations présentées par HRW, sont des cas qu’il est allé chercher dans la poubelle de l’histoire. Les droits de l’homme tant chantés c’est de l’arnaque, car tout le monde voit que ces droits ne concernent pas tout homme. Il y a ceux qui sont exclus depuis des siècles. Et cette exclusion est voulue et le HRW le sait bien et il essaie de l’appliquer sur le Rwanda.

Le Rwanda n’a pas les droits de l’homme, ce truc politique et faux que l’on impose au monde. Le Rwanda a mieux que cela, il a le « Ubumuntu ». Cette qualité humaine qui est inhérent à tout homme mais que certains ont choisi d’étouffer au profit des intérêts matériels. HRW est le défenseur de cette approche.


Dans plusieurs pays où ils interviennent, les membres de Forces de Défense rwandaises sont régulièrement décorés pour des loyaux et bons services rendus.

Le Rwanda a réussi d’arrêter le génocide que le monde entier lui a imposé, notre « droits de l’homme » a laissé faire, voire a facilité l’accomplissement. Le Rwanda a réussi à mettre en place un tribunal d’exception qui a permis le « vivre ensemble » de sa population et d’amorcer le développement du pays du pays.

Le Rwanda est arrivé au niveau où grâce à toutes ces expériences vécues, actuellement le peuple rwandais contribue par ses forces à protéger la sécurité et la démocratie d’autres pays dans le monde, selon la demande, car ils reconnaissent ses capacités et son honnêteté dans le domaine.


Ubumuntu : Je suis parce que tu es !

Le peuple rwandais qui a connu tellement de graves drames humanitaires, quelle comprend mieux la situation des autres peuples. C’est ainsi qu’il accueille dans des bonnes conditions les réfugiés de la région, les victimes de tortures et candidats de la mort de Lybie, les afghans, et tous les autres rejetés par les pays de droits de l’homme Occidentaux.

Le Rwanda est un pays qui, grâce à son savoir-faire, à sa bonne gouvernance et à son humanisme retrouvé, a réussi à se hisser au concert des Nations où il joue un rôle positif et déterminant.

Et « Ubumuntu » est son mot d’orde !

Auteur: MANZI
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